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Le saviez-vous #8 : La chicorée vantée par les penseurs grecs et romains

Publié le 19 juillet 2015

Après Napoléon et les pharaons, on continue l’histoire de la chicorée. La petite histoire dans la grande Histoire ! Et cette fois on s’intéresse à la chicorée à l’époque gréco-romaine. Entre le 1er et le 2ème siècle après J.C., nombre de penseurs la citent et en vantent les mérites.

Qu’ils soient médecins (Dioclès de Carystos, Galien ou Théophraste notamment) philiosophe (Celse) ou encore poète (Aristophane, Horace), ils sont nombreux à avoir cité la chicorée dans leurs écrits, ou à en vanter les bienfaits régénérateurs. SI l’on sait que les romains en consommaient sous forme de salade – Horace écrira même « Je me suffis d’olives, de chicorée et de mauves légères » – c’est surtout son usage médicinal qui est valorisé à l’époque. Dans son recueil encyclopédique « l’Histoire naturelle », qui agrège les savoirs de l’époque en termes de sciences naturelles et humaines, Pline l’Ancien explique que la chicorée « avec de l’huile de rosat et du vinaigre, calme les douleurs de tête et, bu avec du vin, celles de foie et vessie »*. Les romains en étaient tellement adeptes de chicorée qu’ils la nommaient Chreston (utile) ou Pancration (tout puissant). Étonnant non ?

* Source : A travers la longue histoire médicale de la chicorée, Alain Leroux

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